myblu, la marque de vape de Seita Imperial Brands, met à la disposition de ses consommateurs le premier dispositif de recyclage de ses capsules usagées en France
Après avoir été le premier acteur à commercialiser en France un système de vape fermé dans le réseau des buralistes en juin 2018, myblu, filiale de Seita Imperial Brands, et parmi les leaders de la vape en France, met à la disposition de ses consommateurs un système de recyclage de ses capsules de e-liquide (également appelées pods).
Lancé en janvier 2021 d’abord en pilote chez plus de 150 buralistes volontaires à Paris et en région parisienne, le dispositif vise à collecter les pods myblu usagés.
Ces pods sont ensuite recyclés à 97% par HPM*, entreprise allemande spécialisée dans la valorisation des déchets. L’ensemble du process, de la collecte au recyclage, est neutre en impact carbone.
Ce dispositif répond clairement à une attente des consommateurs myblu, interrogés par la marque :
- 88,6% prennent en compte l’impact environnemental d’un produit lors de son achat
- 58,2% souhaitent un point de collecte chez leur revendeur myblu pour rapporter et recycler leurs pods usagés
Afin de permettre à ses consommateurs de localiser le buraliste participant à l’opération le plus proche, la marque met à leur disposition un store locator accessible sur son site : https://www.blu.com/fr/FR/recyclage
Pour Julia Snedkova, Directrice Marketing de Seita Imperial Brands : « En lançant il y a plus de 2 ans, le premier système de vape fermé dans le réseau des buralistes, nous offrions aux fumeurs une alternative à la cigarette, 95% moins nocive. Avec le recyclage des capsules myblu, nous allons plus loin, et donnons à nos consommateurs la possibilité de participer activement à la valorisation de leurs pods usagés. Ce projet est une preuve supplémentaire de l’engagement de Seita Imperial Brands dans l’évolution des attentes environnementales des français. »
*Données fournies par HPM
| Qu’est-ce que la cigarette électronique ?
Il s’agit d’un dispositif électronique, inventé en 2003 par le pharmacien chinois Hon Lik, visant à chauffer un liquide et à le vaporiser en aérosol contenant ou non de la nicotine. Une cigarette électronique est composée de trois éléments principaux :
Les produits de la vape ne contiennent pas de tabac. Il n’y a pas de combustion, donc pas de fumée, mais seulement une émission de vapeur. |
Réduction des risques et lutte contre le tabagisme
Les risques connus liés à la cigarette électronique sont considérablement inférieurs à ceux du tabagisme. Un consensus existe sur la moindre nocivité de la cigarette électronique par rapport au tabac. Le Public Health of England1 confirme un taux de 95,5% de moindre nocivité de la cigarette électronique par rapport au tabac. L’Académie de Médecine s’est également prononcée en décembre 20192 : « La vaporette moins dangereuse que la cigarette aide à l’arrêt et à la diminution de la consommation de tabac. » 2http://www.academie-medecine.fr/lacademie-nationale-de-medecine-rappelle-les-avantages-prouves-et-les-inconvenients-indument-allegues-de-la-cigarette-electronique-vaporette/ |
| Le groupe Imperial Brands et son engagement dans la vape
Le Groupe Imperial Brands crée dès 2012 Fontem Ventures, structure dédiée aux produits de nouvelles générations (NGP)., dont fait partie la cigarette électronique. En 2013, le Groupe rachète le portefeuille mondial de brevets de Hon Lik, inventeur de la e-cigarette, pour les technologies de vapotage électronique. En 2015, le Groupe rachète blu, l’une des marques de cigarettes électroniques les plus vendues au monde. En 2018, le Groupe lance myblu, son système fermé de vape, en Europe, avec la France parmi les pays pilote. Seita, filiale d’Imperial Brands, commercialise depuis myblu chez plus de 15 000 buralistes, avec un objectif simple : permettre aux fumeurs qui souhaitent diminuer ou stopper leurs consommations de produits de tabac, une alternative simple et efficace. |
myblu, le système fermé de vape
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Le circuit de recyclage
Les 3% subsistant, incluant le e-liquid résiduel et le métal de la résistance, non recyclables, sont incinérés et participant à la génération d’électricité ou de chauffage urbain à Hanovre ou Bielefeld. |
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